La location d'un bien immobilier est un excellent moyen de faire fructifier son patrimoine. Mais à l'instant où votre locataire cesse de vous verser son loyer, cela peut vite virer au cauchemar. Pour pallier ce risque, 3 solutions simples.

La caution solidaire. L'une des plus anciennes protections qui soient, un proche de votre locataire va se porter "garant" du bon versement du loyer en cas de défaut de ce dernier.
La garantie loyers impayés (GLI) Il s'agit là d'un contrat souscrit auprès d'une compagnie d'assurance afin de vous prémunir d'un éventuel défaut de votre locataire. Il vous en coutera entre 2% et 3% du montant de votre loyer. Attention toutefois, un certain formalisme est à respecter, il est donc important de comparer les offres.
La garantie visale
Méconnue, la garantie vitale a pourtant l'avantage d'être gratuite. Proposée par Action Logement, cette protection s'adresse à un public bien précis : les locataires âgés de 18 à 30 ans, quelle que soit leur situation (étudiant, apprenti, formation) ; les salariés de plus 30 ans, à condition d'entrer dans leur logement moins de six mois après le début de leur contrat (CDD, CDI…) ou de leur mutation ou encore les personnes titulaires d'un bail mobilité.
Conclusion : un investissement immobilier se doit d'être apprécié dans sa globalité. Une étude de rentabilité tenant compte de ces divers aspects est un réel plus afin d'investir sereinement.